Archive for Music

Droplet on the cutting edge

Posted in Video with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on March 26, 2015 by Zarbis Art Videos
Droplet on the cutting edge

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The bodies imprinted in white canvas
On the blade that determines the direction
Like flag as falling and leaves its mark
Cuting edge its is beginning and end

The memory of phonograph

Posted in Video with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , on July 3, 2014 by Zarbis Art Videos
The memory of phonograph

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Ta musique mon amour, ô oui la tienne.

Me revient subitement en mémoire.

J’étais partie   en terre sienne!

Mais dis-moi donc pourquoi toi?!

J ‘entends toujours dans mon coeur vertueux

Cette rengaine celle-là de notre enfance!

C’était gravé dans le gramophone dispendieux?!

Dis chéri pourquoi ainsi tu me hantes !

Dans ce vieux manoir qui fut nôtre

d’où j y ai laissé ?D’où je veux y revenir.

Et je voudrais que tu saches que l’ombre

Souvent, mon amour, peut ressembler à l’avenir.

Moi je suis née en Septembre fut l’automne

Toi en juillet où fleurissent les feuilles d’ été,

Et  chantent les fleurs  dans le  trinôme,

Qui était maintenant plus aucun doute rayé;

L’histoire mon amour tu la connais est faite

De roses à peine écloses dont je suis moi,

Et lorsqu’il faudra que cette fois je te fasse fête,

Alors Milord, souvenez-vous devant vous j’étais pantoise

Je reviens de grande terre vous dire ô que j’aime

Cette musique de ce temps, ce temps-là ,

Lorsque j’étais blottie dans vos bras sans haine

Souvenez? Cela danse, danse sous le magnolia.

Ta musique mon amour, ô oui la tienne

Me revient subitement en mémoire.

J’étais partie   en terre sienne!

Mais dis-moi donc pourquoi toi?!

Me revoilà. t’offrir cette musique d’antan!

Do ré mi fa sol et l’argenterie qui sonne,

Dans ce vieux gramophone chenapan,

Où l’été dictaphone dans l’électrophone.

Allez viens Milord je t’emmène prendre le vent.

Et que demain fasse que sous pluie ou soleil

Peu nous importe la vie est belle dans ce roman

Le tien, le mien, celui que nous avons écrit hier.

Elisabeth Žarkov